J’ai beaucoup voyagé en Chine et au Japon où j’ai travaillé avec de grands maîtres dont Maître Kano à Kyoto. J’ai eu également la chance de rencontrer Zao Wou-Ki à Paris où nous eûmes de longs échanges; il me disait : « je voulais peindre ce qui ne se voit pas, le souffle de la vie, le vent, le mouvement, la vie des formes, l’éclosion des couleurs et leurs fusions ».

La calligraphie chinoise est à la source de mon travail à l’encre car elle est déjà, par essence, une abstraction fondée sur l’observation de la nature.
Le calligraphe est libre d’y ajouter son propre ressenti et peut même faire varier le sens d’un texte selon ses propres émotions, cette complexité constitue le challenge auquel je me prépare à chaque commencement d’un nouveau travail.
.
Et combien il est également essentiel de suivre la démarche si bien résumée par François Cheng : apprendre le juste équilibre, celui qui doit exister entre tension et relâchement, pour que le souffle suive un mouvement qui part du diaphragme pour aller jusqu’à la main : la mobilité et la sensualité viennent de là.
fusions ».

La calligraphie chinoise est à la source de mon travail à l’encre car elle est déjà, par essence, une abstraction fondée sur l’observation de la nature.
Le calligraphe est libre d’y ajouter son propre ressenti et peut même faire varier le sens d’un texte selon ses propres émotions, cette complexité constitue le challenge auquel je me prépare à chaque commencement d’un nouveau travail.
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Et combien il est également essentiel de suivre la démarche si bien résumée par François Cheng : apprendre le juste équilibre, celui qui doit exister entre tension et relâchement, pour que le souffle suive un mouvement qui part du diaphragme pour aller jusqu’à la main : la mobilité et la sensualité viennent de là.
Ondes
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